La France  est le pays Européen ou la fiscalité successorale est la plus complexe et la plus lourde, notamment lorsqu’elle dépasse 100 000 Euros.

Ce qui rend l’impôt sur les droits de successions très impopulaires, vu que celui qui le supporte considère que ce dont il hérite a déjà fait l’objet d’un prélèvement de l’état au travers de l’impôt sur le revenu ou de la TVA.

Pour gagner en popularité, le gouvernement ne peut-il pas conduire une réforme de la fiscalité successorale, quitte à prendre en compte la nature de la succession, à savoir si elle résulte du talent et / ou de l’effort du défunt, et non pas du hasard de la naissance de l’héritier (notion de méritocratie)

Proposé par E. dans le 69, le 6 mars 2019 à 19h24 min

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